L'opinió de d'Ezra Suleiman, professor de la Universitat de Princeton, a Le Figaro:
Contrairement aux Anglais, qui ont toujours éprouvé une méfiance excessive à l'égard des idées ou des principes abstraits, les Français ont toujours eu, comme Tocqueville l'a observé, un goût immodéré pour l'abstraction aux dépens de la réalité. Nicolas Sarkozy pourrait-il accomplir ce qu'aucun dirigeant n'a pu faire, à savoir encourager les Français à considérer le pragmatisme et la recherche de la liberté comme des atouts plutôt que comme des trahisons ?