Ho publicava "Le Monde" dissabte passat: "
Quand le PCF négociait avec les nazis".
Au lendemain de la Libération, auréolé du prestige qui s'attachait à son engagement dans la Résistance et au sacrifice d'un grand nombre de ses membres, le PCF a nié avoir jamais engagé les moindres pourparlers avec l'occupant. Puis il a reconnu qu'une telle démarche avait bien eu lieu, mais il a prétendu qu'elle avait été le fait de simples militants, privés de directives dans la débâcle. C'est seulement dans les années 1980 que l'historiographie communiste officielle a admis que des négociations avaient été menées, sur consigne de la direction du parti, par des responsables de haut niveau.
Les hasards de la recherche documentaire ont fait découvrir à des historiens, aux archives départementales de Paris, des notes établissant l'argumentaire employé par les représentants du PCF auprès des autorités d'occupation. Claude Pennetier et Jean-Pierre Besse publient leurs trouvailles sous le titre Juin 40, la négociation secrète (Les éditions de l'Atelier).
Unes notes significatives i reveladores de la connivència, oportunisme i antisemitisme de la direcció del Partit Comunista Francès. Aquí en teniu uns fragments:
"1°) Vous avez laissé paraître journaux communistes dans autres pays Danemark, Norvège, Belgique
Sommes venus normalement demander autorisation
2°) Sommes communistes avons appliqué ligne PC sous Daladier, Reynaud, juif Mandel
Juif Mandel après Daladier nous a emprisonnés. Fusillé des ouvriers qui sabotaient défense nationale.
Sommes PC français pas eu peur
3°) Pas cédé face dictature juif Mandel et du défenseur des intérêts capitalistes anglais Reynaud
courage ouvriers français ouvriers parisiens et quand ce sont des ouvriers français ou parisiens c'est le PCF