Le texte permettrait de créer un marché unique, dans lequel il serait plus facile pour les entreprises et les personnes de proposer leurs services dans des pays étrangers. Toutefois, la législation du pays d'accueil en matière de droit du travail restera en vigueur.
Conformément au projet de directive, les secteurs qui n'entreraient pas dans le champ d'application du texte comprendraient les services sociaux, tels que les soins aux personnes âgées ou handicapées, les services médicaux, les transports publics, les services audiovisuels ou encore les services de sécurité.
Les nouveaux Etats membres de l'UE, soutenus par la Grande-Bretagne, l'Irlande et les Pays-Bas, souhaitaient une directive plus favorable à l'ouverture du secteur des services à la concurrence, mais ils ont accepté le compromis pour sortir de l'impasse.
Les syndicats de plusieurs membres anciens de l'Union européenne, notamment français et allemands, s'opposaient au texte original, craignant que celui-ci ne mette en péril la protection sociales dans leurs pays en ouvrant leurs marchés à des concurrents beaucoup moins chers issus des nouveaux Etats membres, comme la Pologne ou la Lituanie.
La vena soviètica de la UE va tornar aparèixer ahir en la negociació del projecte de reforma del sector vinícola. Una reforma pensada, com sempre, en funció dels interessos de França. Com que hi ha una crisi de superproducció que tira els preus a la baixa, doncs res millor que passar-hi les tissores. Amb aquest criteri de comissari polític es proposa, entre altres mesures, arrencar 400.000 hectàries de vinyes a la UE.