Adéu a Nihil Obstat | Hola a The Catalan Analyst

Després de 13 anys d'escriure en aquest bloc pràcticament sense interrumpció, avui el dono per clausurat. Això no vol dir que m'hagi jubilat de la xarxa, sinó que he passat el relleu a un altra bloc que segueix la mateixa línia del Nihil Obstat. Es tracta del bloc The Catalan Analyst i del compte de Twitter del mateix nom: @CatalanAnalyst Us recomano que els seguiu.

Moltes gràcies a tots per haver-me seguit amb tanta fidelitat durant tots aquests anys.

dimarts, 2 de maig del 2006

Un imam apallissa una nena de sis anys a Tetuan per trepitjar-l'hi la catifa

Ho publica el diari "Aujourd'hui Le Marroc":

Une affaire scandaleuse à Tétouan secoue l'opinion publique locale et les milieux de l'enseignement. Nihad Afroun, un petit ange de six ans, a été victime, la semaine dernière, de violence physique, commise par son instituteur à l'école Sidi Ahmed El Bekkal, sise au quartier Jbel Darssa. Outre les effets psychologiques, cette violence a eu de graves conséquences physiques sur la petite fille. Le visage tuméfié, Nihad présente des ecchymoses au niveau des yeux et des fractures au niveau du nez.
"L'affaire remonte au mercredi 19 avril. À 15 heures, l'école m'a appelée pour m'annoncer que ma fille est tombée. Quand je suis arrivée, elle saignait. Je lui ai alors demandé ce qui lui est arrivé. Elle m'a raconté qu'au moment où les élèves entraient en classe à 13 heures 30 mn, l'instituteur faisait sa prière du "Dohr". Sans faire attention, elle a mis le pied sur son tapis", affirme Fatima Ouled Abdelwahhab, mère de Nihad. Et d'ajouter :" Après avoir terminé sa prière, l'instituteur a donné un coup violent à ma fille au point qu'elle est tombée en se cognant le visage contre le sol. On ne m'a avisée que près de deux heures après l'incident".
"J'ai marché sur son petit tapis. Il m'a frappée et je suis tombée par terre", confirme la petite Nihad d'une voix douce. La mère conduit alors sa fille à l'hôpital "Sania Rmel " à Tétouan pour recevoir les soins nécessaires. "Le médecin m'a dit que ma fille a de graves fractures au niveau du nez", ajoute la mère, le cœur serré d'angoisse. La mère de la victime, scandalisée, a décidé de porter plainte contre l'instituteur, un homme qui a la cinquantaine, également "khatib" d'une mosquée sise à Hay Boujarah.