Semblaria un fòssil si no fos perquè les seves conseqüències encara les estem pagant:
Bien que datant de 1985, cette interviewest d’une rare actualité. Yuri Bezmenov, ex-agent du KGB passé à l’Ouest dans les années 1970 raconte par le menu les techniques de déstabilisation et de manipulation de l’opinion. Il révèle ainsi comment le bloc socialo-communiste :
• a sciemment mis en œuvre une politique globale de manipulation de l’opinion et des élites au niveau mondial.
• a conditionné les écoliers et étudiants occidentaux aux idéaux socialistes sur au moins trois générations. Cette tâche représentait selon lui 85% de l’activité du KGB.
· a systématiquement recruté tous les faiseurs d’opinion à l’ouest pour influencer et déstabiliser le monde non-communiste.
• a conditionné et “dé-moralisé” (perte des valeurs) des pans entiers de la société, devenus les “idiots utiles” du socialisme.
Cet entretien permet de comprendre pourquoi, en 2007, nous devons encore composer avec une gauche lunaire, pourquoi autant de profs formatés continuent de saper des générations d’écoliers et d’étudiants et pourquoi la lutte contre le socialisme marxiste, malgré toutes les preuves de sa nocivité, est toujours à l’ordre du jour. La culture “égalitariste”, l’anti-racisme idéologique, les problèmes liés à l’immigration par exemple, sont très étroitement liés à l’intense désinformation socialiste-marxiste qui a saturé les esprits jusque dans les années 90. Nous en récoltons les indigestes fruits aujourd’hui.
Dans une conférence dont il reste des traces sur Internet, Yuri Bezmenov - alias Thomas Schuman - a donné d’autres indications sur les techniques destinées à déstabiliser les nations occidentales. Parmi ces stratégies de déstabilisation, il cite entre autres :
• le sabotage des unités nationales (ethniques, raciales, religieuses, linguistiques)
• la ridiculisation du sentiment patriotique en le dégradant au rang d’une maladie mentale (psychotic)
• l’encouragement de l’agitation politique dans le monde du travail en politisant les syndicats.
Nous avons donc bien toujours les deux pieds dedans et nous n’avons pas changé de monde : nous sommes toujours les héritiers de la guerre froide. C’est aujourd’hui de l’intérieur que la maladie tente de se répandre. Et les “idiots utiles” sont toujours aussi actifs.