La part positiva d’aquesta història és que, com diu Vincent Benard, la falta de recursos ens pot estalviar que s’apliquin plans de rescat innecessaris o inconseqüents:
Finalement, la sagesse des prêteurs, rendus inquiets par la perspective d'une baisse sensible des rentrées fiscales de certains états, va peut être nous protéger des plans de relance inconséquents et financés à crédit annoncés ici et là, forçant enfin les états les plus dispendieux à revoir leur train de vie. Seuls les USA semblent pouvoir continuer à emprunter des sommes pharamineuses à des taux plus que bas, que ce soit à 6 mois, deux ans ou 10 ans. Mais les emprunts nés des plans "Obama" ne sont pas encore sur le marché... Qui sait comment celui ci réagira alors.