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L’objectiu de l’Iran als Jocs Olímpics
“no és guanyar medalles, sinó promoure la cultura islàmica”. Ho ha dit el vicepresident del Comitè Olímpic iranià, Abdolreza Savar, que ha presentat un
memoràndum per combatre “els costums i les pràctiques occidentals” en les competicions esportives i castigar tots aquells “que no respectin les regles islàmiques en les competicions”, tant si es fan a dins com a fora de l’Iran.
Le mémorandum a aussi dit qu’ "aucun entraîneur masculin ne peut entrainer ou accompagner les athlètes quand ils voyagent à l'étranger."
"Si on ne trouve pas d'entraîneurs féminins, nos équipes féminines ne participeront pas aux compétitions internationales", a dit Savar.
On considère les athlètes de l'Iran parmi les meilleur au Moyen-Orient, mais en raison des restrictions sévères imposées par le gouvernement, les femmes sont parfois exclues de la compétition et empêchées d'exploiter leur potentiel.
A titre d'illustration l'équipe de volley iranienne, qui n'a pas pu se qualifier dans la moindre compétition internationale, parce qu'elle n'a pas d’entraîneur.
"Dans le volley il n'y a pas d'entraîneur féminin compétent et le comité Olympique ne nous permet pas d'employer des hommes pour entraîner l'équipe féminine", a dit Saïd Derakhchandeh, le président de la Fédération iranienne de voleyball.
L'équipe de voleyball de l'Iran a compté par le passé comme une des meilleures d'Asie.