Dans un entretien au Monde accordé lundi 17 mai à Berlin, la chancelière allemande s'explique sur sa gestion de la crise grecque et appelle ses partenaires à plus de rigueur.
Les Allemands, qui ont eu tant de mal à abandonner le deutschemark,se sentent-ils trahis par cette crise de la Grèce et de l'euro?
Angela Merkel: Non, naturellement non. Nous sommes volontiers européens et nous savons ce que nous apporte l'euro. Mais nous nous sentons renforcés d'avoir négocié durement les points qui sont particulièrement importants pour nous.
Quelles conclusions tirez-vous du plan de sauvetage de la Grèce, puis de l'euro?
La stabilité de l'euro, pilier fondamental de l'intégration européenne, était en jeu. Nous avons fait preuve d'une solidarité importante et nécessaire. L'Allemagne s'y reconnaît.
Deuxièmement, la crise l'a montré, la zone euro ne peut fonctionner que si nous adoptons une culture de stabilité résolue, ce qui signifie avoir des finances solides et intégrer les critères du pacte de stabilité et de croissance, comme l'exige le traité de Maastricht. La solidarité et la solidité sont inséparables. Pour l'Allemagne, cette culture de stabilité ou de solidité n'est pas négociable.
(Josep Pla)
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dimarts, 18 de maig del 2010
Merkel: "Per Alemanya, la cultura de la solidesa i l'estabilitat no és negociable"
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